Association « Au-delà de nos handicaps »

Quelques mots du Général de division Georges Lebel Président de l’association «Au-delà de nos handicaps»

En créant cette association dont le nom résume la réalité de ce qui nous anime : aller « au-delà de nos handicaps », nous nous sommes lancés en équipe, au service des blessés de la vie pour leur permettre de trouver des occasions de dépasser leurs limites… En effet, en nous inspirant ce mot : « ma faiblesse est ma force… », on peut réellement ouvrir de nouveaux horizons ! Il suffit d’en prendre conscience. Chacun a son chemin, mais de si nombreux cas sont là pour l’attester, à commencer par notre parrain, Philippe Croizon, amputé des bras et jambes qui, après 7 ans dans le « fond du trou » et 2 tentatives de suicide, a traversé la Manche à la nage en 2010, puis a aussitôt continué en reliant les 5 continents, toujours à la nage… Il vient de boucler l’édition 2017 du « Dakar » en Argentine !

Fauteuil Au delà de nos handicap

Nous emmenons ainsi 12 blessés dans le massif du Mercantour du 23 juin au 1er juillet. 9 sont militaires, et 3 « civils » (car quand on a une « bonne idée », il faut la partager… et ainsi, bien loin de les diviser, on multiplie les effets !). Ensemble pour couvrir 230 km en 6 jours de raid grâce à nos « Mobile Dream », petits quads électriques, bijoux de technologie adaptée à ceux astreints à vivre en fauteuil…, et pour tous les autres, valides ou blessés psychologiques (en syndrome post traumatique), les accompagner en VTT à assistance électrique. En effet, sans cet appoint, ils ne suivront jamais les « Mobile Dream » sur les 7.000 mètres à gravir pour rallier la Principauté de Monaco, où le Prince Albert II nous accueillera en personne, le samedi 1er juillet, au milieu des familles et amis de nos blessés…

Ballade au delà de nos handicaps

Le lendemain, pour prolonger la magie des retrouvailles avant de se séparer, nous partagerons une journée sur ce site unique de l’île de Saint-Honorat, reçus par la communauté monastique de l’Abbaye de Lérins. En effet, le Père Abbé, fidèle à leur tradition d’accueil (depuis… 16 siècles !) a la générosité de nous envoyer à Monaco un des bateaux qui sert au transbordement de tous ceux qui viennent à eux depuis Cannes pour se ressourcer dans ce havre de paix. Nous allons vivre de très grands moments… et pour vous permettre d’en savoir un peu plus, rendez-vous sur notre site « Au-delà de nos handicaps » (http://www.audelahandicaps.fr) !

Solidarité au delà de nos handicaps

Et donc, si le cœur vous en dit, rejoignez nous, aidez nous, car, comme le dit si bien le Père Vladimir (Abbé de l’Abbaye de Lérins) : « gagner de l’argent n’est pas contraire à l’Evangile, ce qui compte c’est la façon dont on le partage ! » Ainsi, tous vos soutiens sont les bienvenus, même les plus modestes ! Ils nous permettront de donner toute sa dimension, dans la durée, aux chemins ouverts aujourd’hui en Mercantour, en septembre à Paris, et demain ailleurs, dans tant d’autres endroits pour ouvrir ensemble de nouveaux horizons à ces blessés !

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Arrêté du 12 avril 2017 portant modification des modalités d’inscription des lits médicaux inscrits au titre I de la LPP

Nous vous invitons à le lire avec attention car nous publierons à votre intention dans quinze jours un quizz portant sur le sujet. Les réponse vous seront apportées à l’issue de la quinzaine suivante. Bonne lecture

L’arrêté portant modification des modalités d’inscription sur les lits médicaux au titre I de la LPP vient d’être publié. Vous trouverez ci-après l’acte règlementaire correspondant. Nous vous invitons à le lire avec attention car nous publierons à votre intention dans quinze jours un quizz portant sur le sujet. Les réponses vous seront apportées à l’issue de la quinzaine suivante. Bonne lecture.

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ .

Arrêté du 12 avril 2017 portant modification des modalités d’inscription des lits médicaux  inscrits au titre I de la liste prévue à l’article L. 165-1 (LPP) du code de la sécurité sociale

Le ministre de l’économie et des finances et la ministre des affaires sociales et de la santé,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale et notamment ses articles,
L. 162-38, L. 165-1 à L. 165-5 et R.165-1 à R.165-28 ;
Vu les avis de la commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé ;
Vu les avis de projet de modification des modalités d’inscription des lits médicaux inscrits au chapitre 2 du titre Ier de la liste prévue à l’article L. 165-1 (LPP) du code de la sécurité sociale publiés au Journal officiel le 30 juin 2015 et le 3 janvier 2017,

Arrêtent :

Art. 1er. – Au titre I, chapitre 2, dans la partie « Spécifications techniques », à la section 1, après la rubrique « Coussins de série d’aide à la prévention des escarres », la rubrique « Lits médicaux » est remplacée comme suit :
Lits médicaux 1.
Lits médicaux et accessoires standards
Les lits médicaux standards pris en charge au domicile doivent au moins respecter les exigences des normes relatives aux lits médicaux suivantes, avec leurs éventuels derniers amendements :
– NF EN 60601-1 édition 3 ;
– NF EN 60601-2-52 édition 1 ;
– NF EN 60601-1-2 édition 3 ou édition 4 ;
– NF EN 60601-1-11 édition 1.
Est toléré jusqu’au 1er juillet 2021 au plus tard pour les lits standards pris en charge au domicile, le respect des exigences des normes suivantes :
– NF EN 60601-1 édition 2 + amendement 1 + amendement 2 ;
– NF EN 60601-2-38 + amendement 1 ;
– NF EN 60601-1-2 édition 2+ amendement 1.

Les lits doivent disposer d’au moins 2 fonctions non manuelles (hauteur variable et section dossier à inclinaison variable).
Les fonctions proclive et déclive sont impossibles sur les lits médicaux à domicile. Si un lit médical à domicile est équipé d’une de ces fonctions, elle doit être désactivée par un moyen, matériel ou immatériel, non accessible au patient et à son entourage, utilisateur(s) profane(s) ou professionnel(s) (la désactivation est réalisée par un outil non présent dans l’environnement du patient). La position assise (avec plicature des genoux ou section jambe à inclinaison variable) sans inclinaison du sommier est tolérée et peut être utilisée pour un usage à domicile.
Les commandes électriques doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur et accessibles au malade, lui permettant d’adapter la position du lit à ses besoins sans l’aide d’une tierce personne.
Les barrières de lit doivent être fournies si la prescription le précise. Toutes les barrières doivent respecter les exigences de la norme NF EN 60601-2-52 relative aux lits médicaux au plus tard le 1er avril 2018. Elles doivent être compatibles avec les lits médicaux prescrits.

2. Lits médicaux et accessoires pour enfants de 3 ans à 12 ans ou d’une taille jusqu’à 146 cm
Ce dernier critère d’âge est indicatif de la morphologie usuelle d’un enfant de 12 ans. Un enfant plus âgé peut toutefois relever d’un lit enfant en raison d’une morphologie atypique correspondant à celle d’un enfant plus jeune.
Les lits médicaux pour enfants de 3 à 12 ans ou d’une taille jusqu’à 146 cm pris en charge au domicile doivent au moins respecter les exigences des normes relatives aux lits médicaux suivantes, avec leurs éventuels derniers amendements:
– NF EN 60601-1 édition 3 ;
– NF EN 60601-2-52 édition 1 ;
– NF EN 60601-1-2 édition 3 ou édition 4 ;
– NF EN 60601-1-11 édition 1.
Est toléré jusqu’au 1er juillet 2021 au plus tard pour les lits pour enfants de 3 à 12 ans ou d’une taille jusqu’à 146 cm pris en charge au domicile, le respect des exigences des normes suivantes :
– NF EN 60601-1 édition 2 + amendement 1 + amendement 2 ;
– NF EN 60601-2-38 + amendement 1 ;
– NF EN 60601-1-2 édition 2+ amendement 1.

Cependant, une dérogation à la norme est exigée : Dans la partie 201.9.8.3 « Résistance des supports patient ou opérateur ou des systèmes de suspension » de la norme NF EN 60601-2-52, il est demandé une charge limite minimale de 70 kg pour la charge correspondant au patient. Les tests seront réalisés conformément à la norme NF EN 60601-2-52, proportionnellement à la masse minimale indiquée.
D’autre part, concernant les lits médicaux pour enfants de 3 ans à 12 ans ou d’une taille jusqu’à 146 cm, d’autres référentiels normatifs alternatifs traitant spécifiquement des lits médicaux peuvent être appliqués à la place des normes NF EN 60601-1 et 60601-2-52, à la condition unique que ces référentiels alternatifs couvrent à minima et de façon équivalente les mêmes risques et essais figurant dans les normes de référence citées précédemment.
Concernant la hauteur du lit, la partie supérieure au centre de l’axe de symétrie du sommier à plat doit descendre à une hauteur de 300 mm.
Les lits doivent disposer d’au moins 3 fonctions non manuelles (hauteur variable, section dossier à inclinaison variable et plicature des genoux ou section jambe à inclinaison variable).
Les fonctions proclive et déclive sont impossibles sur les lits médicaux à domicile. Si un lit médical à domicile est équipé d’une de ces fonctions, elle doit être désactivée par un moyen, matériel ou immatériel, non accessible au patient et à son entourage, utilisateur(s) profane(s) ou professionnel(s) (la désactivation est réalisée par un outil non présent dans l’environnement du patient).
Les lits doivent respecter les dimensions suivantes : 70 à 80 cm de largeur et 160 à 170 cm de longueur.
Les commandes électriques doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur et accessibles au malade, lui permettant d’adapter la position du lit à ses besoins sans l’aide d’une tierce personne.
En référence aux normes NF EN 716-1 et NF EN 716-2 relatives aux lits à nacelle fixes et pliants à usage domestique pour enfants, les barrières de lits médicaux pour enfants de taille inférieure à 146 cm doivent avoir un espace entre les barreaux, ou entre 2 éléments de structure, inférieur ou égal à 65 mm et l’espace entre le sommier et le bas de la barrière doit être inférieur à 65 mm.
Les barrières de lit doivent être fournies. Toutes les barrières doivent respecter les exigences de la norme NF EN 60601-2-52 relative aux lits médicaux en ce qui concerne leur résistance, leur hauteur et les exigences générales de sécurité au plus tard le 1er avril 2018. Pour les enfants ayant perdu leur autonomie, les barrières doivent aller de la tête aux pieds.
Elles doivent être compatibles avec les lits médicaux prescrits.

3. Lits médicaux et accessoires pour patients de plus de 135 kg
Les lits médicaux pour patients de plus de 135 kg pris en charge au domicile doivent au moins respecter les exigences des normes relatives aux lits médicaux suivantes, avec leurs éventuels derniers amendements :
– NF EN 60601-1 édition 3 ;
– NF EN 60601-2-52 édition 1 ;
– NF EN 60601-1-2 édition 3 ou édition 4 ;
– NF EN 60601-1-11 édition 1.
Est toléré jusqu’au 1er juillet 2021 au plus tard pour les lits pour patients de plus de 135 kg pris en charge au domicile, le respect des exigences des normes suivantes :
– NF EN 60601-1 édition 2 + amendement 1 + amendement 2 ;
– NF EN 60601-2-38 + amendement 1 ;
– NF EN 60601-1-2 édition 2+ amendement 1.
Cependant, une dérogation à la norme est exigée :
Dans la partie 201.9.8.3 «Résistance des supports patient ou opérateur ou des systèmes de suspension » de la norme NF EN 60601-2-52, il est demandé une charge limite minimale de 200 kg pour la charge correspondant au patient. Les tests seront réalisés conformément à la norme NF EN 60601-2-52, proportionnellement à la masse minimale indiquée.
Les lits doivent disposer d’au moins 2 fonctions non manuelles (hauteur variable et section dossier à inclinaison variable).
Les fonctions proclive et déclive sont impossibles sur les lits médicaux à domicile. Si un lit médical à domicile est équipé d’une de ces fonctions, elle doit être désactivée par un moyen, matériel ou immatériel, non accessible au patient et à son entourage, utilisateur(s) profane(s) ou professionnel(s) (la désactivation est réalisée par un outil non présent dans l’environnement du patient).
La position assise (avec plicature des genoux ou section jambe à inclinaison variable) sans inclinaison du sommier est tolérée et peut être utilisée pour un usage à domicile.
Les lits médicaux à 1 seul sommier et de largeur minimale de 110 cm sont pris en charge. Les commandes électriques doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur et accessibles au malade, lui permettant d’adapter la position du lit à ses besoins sans l’aide d’une tierce personne.
Les barrières de lit doivent être fournies si la prescription le précise.
Toutes les barrières doivent respecter les exigences de la norme NF EN 60601-2-52 relative aux lits médicaux au plus tard le 1er avril 2018. Elles doivent être compatibles avec les lits médicaux prescrits et doivent être testées de façon à garantir la sécurité d’une personne de plus de 135 kg.

4. Lits médicaux spécifiques et accessoires
Les lits médicaux spécifiques pris en charge au domicile doivent au moins respecter les exigences des normes relatives aux lits médicaux suivantes, avec leurs éventuels derniers amendements :
– NF EN 60601-1 édition 3 ;
– NF EN 60601-2-52 édition 1 ;
– NF EN 60601-1-2 édition 3 ou édition 4 ;
– NF EN 60601-1-11 édition 1.
Les lits médicaux spécifiques doivent au moins respecter les mêmes exigences que celles prévues pour les lits médicaux standards, ainsi que celles prévues au point 2 s’ils sont destinés à des enfants de 3 ans à 12 ans / 146 cm, ou au point 3 s’ils sont destinés à des patients de plus de 135 kg.
Les fonctions proclive et déclive sont impossibles sur les lits médicaux à domicile. Si un lit médical à domicile est équipé d’une de ces fonctions, elle doit être désactivée par un moyen, matériel ou immatériel, non accessible au patient et à son entourage, utilisateur(s) profane(s) ou professionnel(s) (la désactivation est réalisée par un outil non présent dans l’environnement du patient).

5. Matelas simple
Le matelas est réalisé dans une mousse de masse volumique nette supérieure ou égale à 27 kg/m3 d’au moins 14 cm d’épaisseur. Il est fourni avec housse et doit être adapté aux fonctions du lit. Les matériaux utilisés sont réputés anti-allergiques et le comportement au feu conforme aux normes en vigueur (NF EN 597-1 et NF EN 597-2).

6. Garantie
La garantie du lit médical doit être au minimum de 5 ans.
Cette garantie doit inclure une maintenance annuelle préventive selon les recommandations de l’ANSM. En cas de panne, un lit médical conforme aux exigences décrites ci-dessus et, dans toute la mesure du possible, conforme à la prescription doit être mis à disposition du patient.

Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal officiel.

Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

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CGPDM s’investit dans la rédaction du premier titre professionnel de la profession PSDM/PSAD

Depuis le 1er janvier 2017, l’Association pour la formation professionnelle des adultes AFPA est devenue un établissement public industriel et commercial (EPIC). Dans ce cadre, l’AFPA a pour vocation de mener à bien certaines missions de service public et notamment l’ingénierie de certification professionnelle. Cette mission régalienne, qui avait déjà été confiée à l’AFPA par l’Etat, a vu son champ s’élargir à l’ensemble des ministères certificateurs.

C’est dans ce contexte que le Ministère du travail a confié à l’AFPA la création du premier titre professionnel intitulé « technicien(ne) des équipements de maintien à domicile et des véhicules pour personnes handicapées ».

Ce premier titre professionnel (TP) de la profession de PSDM/PSAD a été établi sur la base d’une note d’opportunité qui a fait apparaitre, dans un contexte de forte progression sectorielle de l’emploi, le besoin des distributeurs de matériel médical pour une certification professionnelle.

Ce titre de niveau IV se compose de plusieurs blocs de compétences (CCP) qui concernent la mise à disposition et la maintenance d’équipements de maintien à domicile (MAD) ainsi que la mise à disposition et la maintenance de fauteuils roulants électriques.

Les types d’emplois éligibles à ce titre seront :

  • Les techniciens en matériel médical (notamment de maintenance),
  • Les assistants techniques pour l’installation de matériel médical,
  • Les assistants médicotechniques,
  • Les livreurs installateurs.

Le groupe CGPDM a été sollicité par la direction ingénierie formation et qualité de l’AFPA afin de lui apporter son expertise dans la rédaction du Référentiel Emploi Activités et Compétences (REAC) ainsi que pour l’écriture du référentiel de certification (RC).

Le titre devrait très prochainement passer en commission professionnelle consultative pour avis et propositions au sein de la Délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP). Dans le cas d’un avis favorable nous participerons de façon très active à la rédaction des épreuves du nouveau titre.

La mise en place d’un tel titre professionnel répond à un de nos précédents billets en 2016 dans lequel nous regrettions que la formation était le parent pauvre du secteur de la distribution de matériel médical. C’est donc avec plaisir que le groupe CGPDM s’est positionné comme fonction support de l’AFPA dans la rédaction de ce nouveau titre si important pour notre profession.

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Nouvelle édition du Guide des aides aux enfants handicapés

« Quelles sont les aides pour adapter le logement ? », « Comment se passe la scolarisation de l’enfant handicapé ? », « Quelles structures peuvent aider les familles ? » : autant de questions auxquelles répond le Guide des aides aux enfants handicapés, une publication au service des familles et des associations.

Silver economie

Lancée en 2015, cette collection, conçue pour être « pratique sans jargon administratif », rassemble, en un seul et même volume, toutes les informations sur les aides et dispositifs, dont le lecteur a besoin. « Notre objectif est de répondre à des questions paraissant évidentes mais qui ne le sont pas forcément lorsque des personnes se retrouvent dans cette situation. Le lecteur est ainsi orienté vers des aides concrètes et accessibles. C’est une mission de service public répondant à une vraie demande. Il y avait un manque sur le marché du livre », explique le ministère chargé des Affaires sociales, auteur et éditeur de cet ouvrage.

Cette édition 2017 rend compte des revalorisations des montants des différentes allocations et prestations et décortique les nouveaux dispositifs.

Une vie quotidienne facilitée

Parmi les nouveautés, un focus est fait sur la carte mobilité inclusion (CMI) mise en place le 1er janvier 2017, à la suite de la loi du 7 octobre 2016 pour une République numérique. Ce dispositif plus sécurisé simplifie les démarches en se substituant aux trois cartes (de stationnement, de priorité et d’invalidité) qu’avaient les personnes handicapées. Ce système est également « destiné à faciliter la vie quotidienne des personnes handicapées et des personnes âgées en perte d’autonomie. Sa délivrance est gratuite et procure des avantages à son titulaire et à ses proches », comme l’explique le guide.

Autre mesure nouvelle mise en lumière dans cette édition : les salarié(e)s peuvent bénéficier d’un congé supplémentaire de deux jours lors de la survenue d’un handicap chez leur enfant. Cette mesure s’applique depuis le 10 août 2016, date de l’entrée en vigueur de la loi « Travail », relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels. Ce congé supplémentaire n’entraîne pas de baisse de salaire. Et sa durée peut être augmentée dans le cadre d’un accord collectif.

Une scolarisation plus accessible

A la rentrée 2015, 350 300 enfants ou adolescents en situation de handicap étaient scolarisés : près de 80 % en milieu ordinaire, et les 20 % restants dans des établissements hospitaliers ou médico-sociaux, selon l’Insee. Ce nombre a augmenté de 6,1 % par rapport à 2014.
Pour répondre aux attentes des familles, la dernière partie du guide est consacrée aux aides pour scolariser les enfants handicapés. En effet, ces derniers, comme tous les autres enfants, ont le droit de s’inscrire dans leur établissement de référence, c’est-à-dire dans leur école, collège ou lycée de leur secteur.
Pour ces enfants, il existait déjà, par le passé, des aménagements ou des adaptations pour compenser le handicap ou rendre l’école accessible. Désormais, les classes appelées Ulis (unités localisées pour l’inclusion scolaire), jusque-là réservées aux collèges et lycées, se généralisent aux écoles maternelles et primaires et remplacent les classes d’inclusion scolaire (Clis). Limitées à 12 élèves, ces classes sont implantées dans des établissements classiques.

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Réforme des EHPAD : un cahier des charges et un contrat type de 5 ans pour les CPOM

La mise en place des contrats pluriannuels d’objectifs et de moyens (CPOM) est l’une des principales composantes de la réforme de la tarification des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD, voir nos articles ci-dessous). Dans ce cadre, un arrêté du 3 mars 2017 fixe le contenu du cahier des charges et le modèle type des CPOM. Ces derniers se substituent progressivement, à compter du 1er janvier 2017, aux anciennes « conventions tripartites » conclues par chaque établissement avec l’agence régionale de santé (ARS) et le département.

Réforme des ephads

Un contrat pour cinq ans

L’article premier de l’arrêté prévoit que le directeur général de l’ARS et les présidents des conseils départementaux programment sur cinq ans, à compter du 1er janvier 2017, la signature des CPOM, sous la forme d’un arrêté publié avant le 31 décembre de l’année N-1, mais qui peut être ajusté chaque année. Cette programmation doit s’efforcer de prendre en compte les dates d’échéance des conventions tripartites, afin d’assurer une continuité. A défaut de cette possibilité, un avenant à la convention tripartite permet de prolonger d’une année la validité de cette dernière. Il est également possible d’anticiper sur la date d’achèvement de la convention tripartite.
Le CPOM est conclu pour une durée de cinq ans. Si aucune des parties ne manifeste le souhait de proroger le contrat en vigueur au plus tard six mois avant son expiration, les parties signataires entament une négociation en vue d’un nouveau contrat. L’arrêté prévoit également que l’évaluation de la perte d’autonomie des personnes hébergées dans l’établissement, ainsi que l’évaluation de leurs besoins en soins, sont réalisées, de façon simultanée, avant la conclusion du CPOM, mais aussi au cours de la troisième année du même contrat.
Dans l’hypothèse où une des parties au CPOM souhaite le prolonger, elle le notifie aux autres parties signataires par lettre recommandée avec accusé de réception, au plus tard six mois avant l’expiration du contrat. Celles-ci ont alors un mois pour signifier leur accord ou leur désaccord, l’absence de réponse valant acceptation. La durée initiale de cinq ans du CPOM peut alors être prorogée pour une durée maximale d’un an, renouvelable une fois.

Un diagnostic « objectif et documenté »

L’essentiel de l’arrêté du 3 mars 2017 réside toutefois dans son annexe qui présente le modèle de contrat et le cahier des charges. Ce dernier explique que « le Cpom est […] source de simplification administrative, pour l’aide sociale départementale, dans la mesure où il devient le document unique de contractualisation pour le gestionnaire d’un ou plusieurs établissements ». Il est aussi « un levier de performance pour les établissements et services médicosociaux » et « un outil de déclinaison opérationnelle des objectifs du projet régional de santé (PRS) et des schémas régionaux et départementaux ».
Le cahier des charges précise également que les parties signataires doivent préalablement réaliser un diagnostic « objectif et documenté » de la situation des établissements et services couverts par le contrat, s’appuyant notamment sur les résultats des évaluations externes.
Très détaillé, le modèle de CPOM comprend deux grandes parties. La première est consacrée à l’objet du contrat, et notamment des objectifs fixés dans le cadre du CPOM sur la base du diagnostic partagé, ainsi que des moyens dédiés. La seconde traite de la mise en œuvre du contrat : suivi et évaluation, traitement des litiges, révision… S’y ajoute une liste des documents à annexer au contrat (dont le diagnostic partagé).
L’arrêté précise que « dans le respect du cahier des charges annexé au présent arrêté, le modèle de contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens peut faire l’objet d’une adaptation par les parties signataires pour prendre en compte les enjeux spécifiques aux territoires d’implantation des établissements et services couverts par le contrat ».

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HANDICAP : la croissance continue des MDPH

Plus de dix ans après l’entrée en vigueur de la loi Handicap du 11 février 2005 – qui les a créées – les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) voient leur activité continuer de croître rapidement. Tel est l’un des principaux enseignements de la traditionnelle synthèse des rapports d’activité des MDPH, publiée par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA). Portant sur l’année 2015, celle-ci montre en effet, pour la dixième année consécutive, une poursuite de la croissance de l’activité.

Silver economie

Un stock de dossiers qui se maintient

En 2015, celle-ci a ainsi progressé de 7,3% pour atteindre 4,25 millions de demandes – tous types confondus -, après +7% en 2014, +8,3% en 2013 et +6% en 2012. Ces chiffres recouvrent toujours de forts écarts entre départements, puisque le nombre de demandes pour mille habitants varie de 22 à 94, la moyenne et la médiane se situant à 64 demandes. Seul signe positif : la tendance à la diminution de la part des premières demandes se poursuit en 2015 pour la majorité des prestations et orientations.
Si la pression de la demande sur les MDPH continue de s’accroître, la répartition entre les différents types de prestations ou d’interventions reste en revanche pratiquement inchangée par rapport à 2014. Les demandes liées à l’emploi – dont l’AAH – représentent 42,4% du total et les cartes d’invalidité et de stationnement 31,3%. Pour leur part, les demandes de prestations de compensation du handicap (PCH) représentent 6,4% et les demandes d’orientation en établissements et services 8,3%. En 2015, un peu moins d’une demande déposée sur cinq relève des prestations, droits, orientations ou avis concernant des enfants.
Malgré cette nouvelle hausse de l’activité observée en 2015, le stock de dossiers en instance s’est maintenu. En effet, les commissions des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) ont rendu 4,28 millions de décisions et avis, soit une progression de 8% par rapport à 2014, « ce qui démontre une dynamique positive dans le traitement des dossiers ».

Les taux d’accord en recul

De même – et toujours malgré la hausse de l’activité -, les délais moyens de traitement se sont stabilisés en 2015. Pour les dossiers concernant les adultes, 45% des MDPH ont vu leurs délais de traitement diminuer et 5% ont connu une stabilisation de ces délais. La moitié des MDPH ont vu néanmoins leurs délais de traitement augmenter. Parmi les principales prestations, les délais les plus longs concernent l’AAH (avec une moyenne de 4,83 mois) et la PCH (5,26 mois pour les plus de vingt ans, 4,67 mois pour les moins de vingt ans et 5,53 mois pour les plus de soixante ans).
En termes de taux d’accord, l’année 2015 marque une légère décélération. Le taux d’accord passe ainsi de 47,9% à 46,9% pour la PCH chez les plus de vingt ans et de 45,4% à 42,4% chez les moins de vingt ans. La baisse est de six points pour les formations professionnelles, de 2,9 points pour les cartes de priorité ou d’invalidité et de 2,7 points pour le complément de ressources. En revanche, le taux d’accord reste quasi stable pour l’AAH (à 71,4%). Ces moyennes recouvrent toutefois des écarts importants entre départements.

Budgets stables, effectifs en hausse

Pour assurer l’ensemble de leurs activités, les MDPH ont vu leurs moyens budgétaires augmenter très légèrement. Le niveau global des dépenses de fonctionnement a ainsi atteint 341,3 millions d’euros – y compris les mises à disposition et les dépenses externalisées « gratuites » -, contre 339,7 millions en 2014 (+0,5%). Les participations « monétaires » au financement des MDPH sont assurées essentiellement par l’Etat (36%), la CNSA (35%) et les départements (27%). La répartition est très différente si on tient compte des mises à disposition et des dépenses externalisées « gratuites » : 43% pour les départements, 34% pour l’Etat et 21% pour la CNSA. La progression des moyens est plus importante pour les effectifs. Les MDPH comptaient en effet 5.279 ETP en 2015, soit une hausse de 4% sur l’année précédente.
Au-delà des éléments statistiques sur l’activité, la synthèse établie par la CNSA consacre aussi des développements plus qualitatifs sur les principaux chantiers qui ont mobilisé les MDPH en 2015 : préparation du renouvellement des conventions pluriannuelles entre la CNSA et les départements, choix d’un système d’information commun, déploiement du dispositif « réponse accompagnée pour tous », projet IMPACT (innover et moderniser pour l’accès à la compensation sur les territoires)…

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Généralisation de l’intervention de l’HAD en EHPAD

ENTRÉE EN VIGUEUR LE 1er MARS DE LA GÉNÉRALISATION DE L’INTERVENTION DE L’HAD EN EHPAD

La Ministre des Affaires sociales et de la Santé avait annoncé, le 7 décembre dernier, son intention de « lever les restrictions encadrant le recours à l’hospitalisation à domicile (HAD) en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD)« . C’est désormais chose faite avec un arrêté du 19 janvier 2017. La mesure prend effet à compter du 1er mars de cette année.

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Une autorisation qui remonte à 2007, mais qui comporte des restrictions

Dans cette optique, ce très bref arrêté se contente d’abroger l’arrêté du 16 mars 2007 modifié qui fixait les conditions de prise en charge pour l’admission en hospitalisation à domicile d’un ou plusieurs résidents d’établissement d’hébergement pour personnes âgées. Pour rappel, l’autorisation de l’intervention de l’HAD en EHPAD remonte en réalité à un décret du 22 février 2007. Mais ce texte prévoit que « les soins ne peuvent être délivrés à un résident que si l’état de santé de celui-ci exige une intervention technique, qui ne se substitue pas aux prestations sanitaires et médicosociales dispensées par l’établissement, et si son admission en hospitalisation à domicile répond à des conditions de prise en charge définies par un arrêté du ministre chargé de la Santé et du ministre chargé de la Sécurité sociale ».

L’arrêté du 16 mars 2007 précisait donc ces conditions de prise en charge, en cantonnant l’intervention de l’HAD en EHPAD à quatorze types de prises en charge médicale, dont les soins palliatifs.
Depuis, deux décrets en date  du 6 septembre 2012 ont étendu les possibilités d’intervention de l’HAD à l’ensemble des établissements médicosociaux, au-delà des seuls EHPAD. Ils ont également prévu la signature d’une convention entre l’établissement et le service d’HAD, définissant en particulier les conditions de l’intervention de la structure d’HAD, les modalités d’élaboration et d’adaptation des protocoles de soins et l’organisation de l’accès des personnels à certains éléments du dossier du patient. Mais ces deux décrets n’ont pas modifié le périmètre des prises en charge autorisées en HAD.

L’ouverture à de nouvelles prises en charge

En abrogeant l’arrêté du 16 mars 2007, l’arrêté du 19 janvier 2017 lève du même coup les restrictions qui étaient jusqu’alors posées à certaines interventions concernant, entre autres, l’assistance respiratoire, la nutrition parentérale, la chimiothérapie anticancéreuse, la prise en charge de la douleur, la rééducation orthopédique ou neurologique, ou les soins de nursing lourds.
Cette mesure, dont l’impact effectif reste à mesurer, devrait bénéficier à la fois aux résidents des EHPAD – en évitant des hospitalisations particulièrement déstabilisantes pour des personnes fragilisées – et aux hôpitaux, en allégeant la surcharge de certains services par des personnes âgées, faute de perspective de retour rapide à domicile ou en établissement.

Références : arrêté du 19 janvier 2017 portant abrogation de l’arrêté du 16 mars 2007 modifié fixant les conditions de prise en charge pour l’admission en hospitalisation à domicile d’un ou plusieurs résidents d’établissement d’hébergement pour personnes âgées en vertu de l’article R.6121-4 du Code de la santé publique (Journal officiel du 26 janvier 2017).

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Formations aux métiers de prestataires de services et de distribution de matériel médical

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Thierry Debergé, CGPDM Formation, tel : 05 56 768 433

Calendrier Formations CGPDM

CALENDRIER DES FORMATIONS EXTERNES CGPDM 2017

FEVRIER 2017

  • Chef d’équipe technique
    du mardi 7 au jeudi 9 février 2017
  • Technicien préparateur mécanique
    du mardi 14 au jeudi 16 février 2017
  • conseiller médicotechnique mad
    du mardi 14 au jeudi 16 février 2017
  • responsable secteur mad
    du mardi 21 au jeudi 23 février 2017

 MARS 2017

  • formation transfert*
    Lundi 6 mars
  • gérer son temps et ses priorités
    du mardi 28 février au jeudi 2 Mars 2017
  • accueil client téléphonique
    du jeudi 9 mars au vendredi 10 Mars 2017
  • concevoir ses process et les appliquer
    du mardi 14 au jeudi 16 Mars 2017
  • technicien préparateur mécanique
    du mardi 21 au jeudi 23 Mars 2017
  • formation transfert
    Lundi 27 mars

AVRIL 2017

  • formation transfert
    Lundi 3 avril
  • technicien préparateur électrique
    du mardi 11 au jeudi 13 avril 2017
  • formation transfert
    vendredi 21 avril

JUIN 2017

  • lire dans vos clients à livre ouvert
    du mardi 6 au jeudi 8 juin 2017
  • responsable secteur collectivités médicosociales
    du mardi 20 au jeudi 22 juin 2017
  • formation transfert
    Lundi 12 juin
  • adjoint chef d’agence
    du mardi 27 juin au jeudi 29 juin 2017

JUILLET 2017

  • cmt collectivités médicosociales
    du mardi 4 juillet au jeudi 6 juillet 2017
  • formation transfert
    Lundi 10 juillet
  • gérer efficacement une surface de vente
    du mardi 11 juillet au jeudi 13 juillet 2017
  • responsable secteur handicap
    du mardi 18 juillet au jeudi 20 juillet 2017

SEPTEMBRE 2017

  • formation transfert
    mardi 5 septembre
  • booster sa performance commerciale
    du mardi 12 au jeudi 14 septembre 2017
  • organiser efficacement le travail de ses collaborateurs
    du mardi 19 au mercredi 20 septembre 2017
  • formation transfert
    Lundi 18 septembre
  • technicien préparateur mécanique
    du mardi 26 au jeudi 28 septembre 2017

OCTOBRE 2017         

  • organiser efficacement le travail de ses collaborateurs
    du lundi 2 au mardi 3 octobre 2017
  • formation transfert
    Jeudi 5 octobre
  • développer son tonus professionnel
    du mardi 10 au mercredi 11 octobre 2017
  • comprendre, utiliser et tenir son budget
    du lundi 16 au mardi 17 octobre 2017
  • formation transfert
    Lundi 23 octobre
  • technicien programmeur
    du mardi 24 au jeudi 26 octobre 2017

NOVEMBRE 2017            

  • formation transfert
    Mardi 7 novembre
  • secrétariat commercial
    du mardi 14 au jeudi 16 novembre 2017
  • formation transfert
    Lundi 20 novembre
  • assistant commercial
    du mercredi 28 au jeudi 29 novembre 2017

DECEMBRE 2017            

  • gérer une agence psad
    du lundi 18 au vendredi 22 décembre 2017

Important :        

*. Les formations transferts sont délivrées sur la base d’un minimum de 6 personnes inscrites (en intra ou en exter) ; Nous nous réservons la possibilité de proposer une date ultérieure en cas de non atteinte du quota.

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Quelle « silver économie » en Nouvelle-Aquitaine ?

A l’occasion de la venue de Pascale BOISTARD, Secrétaire d’État auprès de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie, Alain ROUSSET, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine et Françoise JEANSON, conseillère régionale déléguée à la santé et à la silver économie, ont lancé la feuille de route silver économie de la Nouvelle-Aquitaine le lundi 30 janvier 2017 à l’Hôtel de Région à Bordeaux.
La Nouvelle-Aquitaine, déjà région pionnière grâce à la politique très avancée menée par l’ex-Limousin, entend se positionner comme la Silver Région de l’hexagone.

Silver economie

Pour Françoise JEANSON « L’ambition est de développer une industrie qui réponde aux besoins des personnes et non l’inverse ». Il s’agit donc de travailler avec les personnes avançant en âge et les aidants pour définir avec eux les outils nécessaires pour préserver au maximum l’autonomie.

Quelques pistes de travail ont commencé à être explorée et vont être mises en œuvre:

  • Valoriser les métiers de l’aide à domicile
  • Mieux former ces personnes à l’utilisation du numérique
  • Elaborer un label « Silver »

C’est donc à cette occasion que le groupe CGPDM représenté par Mr Frédéric PIANT, chef de file de la filière santé et médico-sociale a présenté une synthèse des travaux menés depuis le lancement de la Silver AquitaineTM

Ci-dessous sa présentation :

Téléchargez le document Powerpoint : SilverAQT30janvier

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CGPDM partenaire de l’association HANDI CAP VERS…

Baptêmes en FERRARI au profit de l’association HANDI CAP VERS…

CGPDM et MÉDICL-THIRY sont fiers d’être partenaires de l’association HANDI CAP VERS… pour qui des baptêmes en FERRARI seront organisés sur le circuit de Mérignac en gironde (près de Bordeaux) le dimanche 21 Mai de 9h à 18h.

handi cap vers ...

L’Association HANDI CAP VERS… est une association de professionnels travaillant dans des centres de jeunes handicapés moteurs.

Son but est de récupérer, d’acheminer et d’installer du matériel orthopédique en collaboration avec des associations partenaires hors de nos frontières.

La première édition 2016 a eu lieu en partenariat avec le ROTARY Mérignac, sur circuit ECF Eysines.

Plus de 100 baptêmes gratuits ont été réalisés pour les jeunes handicapés.

Les recettes des baptêmes publics ont été entièrement reversées à l’Association HANDI CAP VERS

handi cap vers ...
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